« Le bailleur n’a pas la vocation à être l’associé de son locataire à l’exception des cinémas situés dans les centres commerciaux pour lesquels la Cour de cassation a considéré licite la fixation du loyer en fonction d’une clause recette, assortie d’un minimum garanti. De même l’appréciation de la valeur locative d’après une estimation des possibilités d’exploitation normale et prévisible de la salle de cinéma ne reflète pas mieux la réalité. On ne peut que constater une certaine usure des méthodes qui risque fort de s’accentuer avec le développement des multiplexes … »